samedi 30 mars 2013

[Récent] Bioshock Infinite

Ça y est, je l'ai ! Comme des milliers (qui sait, des milliards peut-être) de joueurs, j'ai pu me procurer le nouveau BIOSHOCK. Chacun sait à quel point j'adore la série, tellement révélatrice d'une quantité incroyable de ... ok j'arrête avec les superlatifs, je ne trouve pas la fin de ma phrase. ^^

Biohshock Infinite se présente davantage comme une suite spirituelle que comme une suite directe. En effet, l'univers, l'histoire et les personnages sont nouveaux, rien à voir avec la cité engloutie de Rapture et ses Big Daddies rouillés. Non, tout se passe dans le ciel.

La cité de Columbia accueille le protagoniste du jeu. Enfin, "accueuillir" est un bien grand mot. En fait, Booker est en mission, et Columbia n'est pas précisément une terre d'acceuil. Elle ressemble à une cité idéaliste, discriminatoire, comme dans au début du siècle. Le jeu se passe d'ailleurs début 1900. On explore Columbia en admirant les paysages magnifiques, les graphismes enchanteurs et les protagonistes pas piqués des vers. Drapeaux américains partout, castes idéalistes, thématique de la religion et du fanatisme, avancées technologiques, etc...

Dès le début, on est familiarisé avec les nouveaux plasmides : ils n'ont d'ailleurs plus rien à voir avec ceux de Bioshock 1 et 2. Ils s'administrent via des potions à boire. Le premier "pouvoir" accordé est la possession, bien pratique pour prendre le contrôle d'un policier trop zélé ou d'une tourelle trop mortelle. J'ai commencé le jeu en "difficile", et autant vous dire que foncer dans le tas détruit tout le plaisir du jeu.

La mort n'a pas la même saveur dans Bioshock Infinite. Si dans les précédents volets, mourir imposait un retour à la vitachambre la plus proche, ici Booker pousse une porte et repart à un checkpoint... Mouais, ça ressemble un peu aux vita-chambres, en fait ... ^^ Et ça coûte toujours de l'argent, comme dans Borderlands et Bioshock.

Bioshock Infinite, définitivement un jeu adulte de par ses débordements gore et son univers très complexe, propose aux joueurs une aventure enivrante, avec de nouveaux gadgets (le treuil pour s'accrocher aux rails) et des ennemis redoutables (qu'est-ce que ça va être, d'affronter un handyman!). L'univers, quand à lui, est tout aussi enchanteur que les deux précédents opus.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire