dimanche 28 février 2010

Batman Arkham Asylum - PS3

J'ai terminé ce jeu récemment. Mon impression initiale était plutôt positive. Mon verdict final est bien supérieur : Arkham Asylum est un des meilleurs jeux PS3 depuis longtemps. Probablement le meilleur jeu de l'année 2009. Rien de plus, rien de moins.


J'ai adoré ce jeu. La quasi-totalité de ses aspects (action, infiltration, maniabilité, graphismes, intrigues, gadgets, etc...) sont sans défaut. Le jeu propose, en plus de l'histoire principale, des défis (à débloquer progressivement). Plus ou moins ardus, ils ont le mérite de relancer un peu le challenge. Jouer le ricanant Joker est un vrai plaisir. Cela change de Batman.

En effet, l'histoire principale nous met aux commandes d'un Batman imperturbable, doué aussi bien pour distribuer des mandales par paquets de cinquante, que de pirater des boitiers de sécurité, utiliser son grappin à tous bouts de champ, récupérer les points d'interrogations planqués partout, résoudre les énigmes tordues de Mr. Enigma, éliminer ses ennemis sans bruit, affronter des titans, etc... Bref, il sait tout faire, ce Batman.

Arkham Asylum est un vrai jeu "complet". Il propose un mix quasi-parfait d'infiltration, d'action, de résolutions d'énigmes, de réflexion. De plus, l'histoire ainsi que ses protagonistes semblent parfaitement fidèles aux comics originaux. On retrouve, en plus du mythique Joker, le monstrueux Bane, l'inquiétant Epouvantail, la sexy Poison Ivy, le saurien Killer Croc, et bien d'autres (aux travers de biographies à récupérer un peu partout).

Graphiquement, Arkham Asylum se classe parmis les jeux les plus beaux de la console de Sony, et ce, malgré les petits défauts d'affichage et les quelques textures ratées. Cela n'entache en rien le plaisir des yeux. Le jeu propose des environnements somptueux, une modélisation générale (ennemis, décors, ...) très réussie, ainsi que des effets de lumière efficaces. Bref, on en prend plein les yeux durant l'aventure, qui va nous trimballer aux quatre coins de l'asile d'Arkham.

Mais c'est la jouabilité exceptionnelle qui a retenu mon attention. Les combats s'enchaînent facilement, la chauve-souris musculeuse étant étonnement facile à prendre en main. Quatre boutons pour les vaincre tous : un pour les coups (poings/pieds), un pour les contres (indispensable face à une horde d'ennemis), un pour le saut (très utile pour voltiger aux dessus des ennemis), et un pour étourdir les ennemis. De plus, la combinaison de certaines touches permet un "finish move" impressionnant. Batman peut aussi lancer des batarangs pour ralentir ses ennemis. Il peut également utiliser son grappin pour tirer vers lui et faire chuter ses adversaires (un gadget particulièrement utile et amusant à utiliser). Enfin, chaque combat se conclut par un ralenti du plus bel effet.

Côté histoire, les puristes (dont je ne fais pas partie) relèveront les éventuelles erreurs d'adaptation. De mon côté, je trouve l'univers de DC Comics bien respecté, aussi bien dans l'univers (très sombre) que dans les personnages (certains sont vraiment très dérangés). Pour finir, la version française est très réussie. Du bon boulot de ce côté-là.

Le seul petit point négatif concerne les affrontements avec certains boss du jeu (Bane, Poison Ivy et le boss final). Ces séquences sont peu originales et ne représente pas un véritable challenge. Un peu dommage. Mais cela n'entache en rien le jeu.

Le studio Rocksteady (peu connu, au demeurant) a fait un travail impressionnant. Une suite est déjà prévue.Cliquez ici pour le site officiel

Survivors Zero - CMXCIX

Un album de death-core (sorti en 2009), dont la musique se situe entre Unearth et Debauchery.

Il s'agit du premier album du groupe (finnois). Un death metal particulièrement efficace, je trouve. Personnellement, j'aime bien.



1. Embrace the Inferno 
2. Armageddon Cult 
3. Lucifer Effect 
4. Scavengers of Christ 
5. Thorns of Rapture 
6. Fortress of Lies 
7. I Bury them Deeper 
8. I Am the Gun
9. Trail of Fears
10. Reclaim My Heritage 


 

Jean Claude Van Damme style


"Les mots ça n'existe pas."

"Ils y a des gens qui croient ce qu'ils croient. On les appelle les tocards."

"J'ai lancé un procès de pensée."

"Dans le futur, y a pas de temps."


Mais de quoi parle-t-il au juste ?

samedi 20 février 2010

London - Episode 4 !

Le voilà sorti ! Pour le plaisir de vos oreilles, fans de London !



Téléchargez l'épisode 4 ici 


Réalisation : Crystal inK.
Voix : Squill, Crystal inK, Latnel.

Enjoy ! N'hésitez pas à me donner votre avis.

vendredi 19 février 2010

Cannibal Corpse - Bloodthirst & Gore obsessed

Deux albums extrêmes ! Deux albums de death metal que j'apprécie beaucoup. Attention les yeux et les oreilles, pour public averti uniquement !


Il faut dire que Cannibal Corpse est un des rares groupes de death metal que j'aime.


J'ai choisi ces deux albums car, heu ... ce sont ceux que j'écoute en ce moment ! J'adore cette musique. Entre deux albums de rock et de metal, ça fait du bien.

Pochettes ultra-gores, violence extrême à chaque morceau, voix ultra-rauque, riffs dévastateurs, lourds et inépuisables ! Cannibal Corpse n'a jamais aussi bien porté son nom.

I like it that way.

jeudi 18 février 2010

Dvd - Soyez sympas, rembobinez

Un film très sympa, avec les acteurs Jack Black et Danny Glover, ainsi que le rapper Mos Def. Un film de Mickael Gondry.


Jack Black, subitement magnétisé, efface le contenu des cassettes d'un vidéoclub, tenu par Mos Def. Les deux compères improvisent un remake de "Sos Fantômes" pour répondre à la demande d'une femme mandatée par le propriétaire du vidéoclub.

"Be kind, rewind" (en version originale) est un bon petit film. Réalisé par un français.

dimanche 14 février 2010

Angels & Airwaves - Hallucinations

Le troisième album du groupe de rock Angels & Airwaves sort demain. Il sera intitulé "Love" si ça n'a pas changé d'ici là.



Un premier titre est disponible en téléchargement libre sur le myspace du groupe : "Hallucinations".

Pour les auditeurs des deux précédents albums ("We don't need to whisper" et "I Empire"), pas de doute, il s'agit d'un style musical spécial, à la fois prenant, puissant et nostalgique. "Hallucinations" n'échappe pas à la règle. Un régal pour les oreilles. Personnellement, j'aime beaucoup.

Attention, cela n'a rien à voir avec le rock de Blink 182 ! Rien du tout, malgré la présence de Tom Delonge, et même si j'aime aussi ce groupe.

Le rock de Angels & Airwaves est puissant, revendicatif, nostalgique, dotés d'instrumentaux travaillés et complexes.

A écouter !

Bioshock 2 - PS3

J'ai adoré le premier opus. Voici mon avis sur cette formidable suite !

Attention :

Je n'explique pas l'histoire de Bioshock. Il est conseillé d'avoir joué à Bioshock 1 pour bien comprendre cette chronique.



Je pense pouvoir affirmer que tous les joueurs ayant goûté à Bioshock ont été envoûtés, tout comme je l'ai été : par l'ambiance extraordinaire, glauque, aquatique, inquiétante, technologique, démente, sombre, dévastée,... On peut utiliser une quantité étonnante de termes pour définir le jeu de 2K. Un seul pourrait le définir : parfait. Un mot exagéré, bien sûr, mais qui ne serait pas volé, tant le jeu est excellent, et tant les personnages rencontrés (le dément docteur Seinman, le fou Sander Cohen, le fourbe Ryan, ...) sont marquants.

J'ignore si la suite était attendue par tous les joueurs. En ce qui me concerne, la réponse est "oui". Évidemment ! J'en attendais beaucoup, de cette suite. Ayant eu le jeu entre les mains depuis maintenant plusieurs jours, un petit test s'impose ...

Graphiquement, le jeu est identique au précédent opus. Cela n'implique pas forcément de déception (le jeu est toujours aussi beau, ne l'oublions pas), mais on a vraiment l'impression que les développeurs ont repris à la lettre la charte graphique de Bioshock premier du nom. Mais le joueur évolue toujours dans Rapture, ne l'oublions pas. Donc, côté graphismes, et malgré les quelques textures "moyennes", on reste dans le haut de gamme. C'est très beau, l'eau ruisselle de partout, ça grince, crépite, explose, etc... Les nouveaux lieux visités, même si ils sont très variés, n'étonnent guère après avoir joué au premier Bioshock. Disons qu'on reste en terrain "connu".

"Hypnose", au stade où je suis arrivé, semble être le seul nouveau plasmide. Les joueurs retrouveront sans mal "incinération", "arc électrique", "insectes", etc... Idem concernant les améliorations physiques, de piratage et de combat. Peu de nouveautés de ce côté, dommage... Quand le personnage de Bioshock 1 s'injectait la seringue d'Eve dans le poignet, le protecteur semble disposer d'un système intégré à sa combinaison. L'effet de 'Sluuuuuuurp' qui se produit dans sa manche peut étonner la première fois.

Le côté piratage, un peu délicat dans le premier opus, semble s'être facilité. Ainsi, il est plus aisé de pirater une tourelle volante, une caméra de sécurité et même une tourelle fixe (chose difficile dans le premier opus). Les développeurs ont mis à disposition un outil de piratage à distance. Très pratique !

Les joueurs de Bioshock 1 se souviennent du passage où le personnage revêtait la combinaison d'un protecteur. Un passage peu aisé, notamment à cause de la visibilité réduite du casque. Pour cet opus, il n'en est rien (et c'est heureux, on incarne le protecteur tout au long du jeu!), les rebords du casque sont légèrement visibles, mais rien qui gêne la visibilité. Qui dit protecteur, dit foreuse. On dispose de cette terrible arme de contact. Les développeurs ont eu la bonne idée d'inclure une jauge d'essence, histoire d'empêcher les joueurs de n'utiliser que cette arme. A un certain moment du jeu, on obtient une capacité très utile : la charge. Cela permet au protecteur de foncer, foreuse en marche, et d'anéantir le chrosome en face de lui. Dévastateur !

Bien évidemment, on rencontre de tous nouveaux personnages : Lamb (une femme qui semble contrôler Rapture depyuis la chute de Ryan), Sinclair (un escroc qui aide le protagoniste), une femme noire très digne, un prêtre fanatique, et plein d'autres. Une petite soeur est au centre de l'aventure : Eleanor. C'est la fille de Lamb. Elle appelle le protecteur qu'incarne le joueur "papa". L'histoire de Rapture en elle-même est complexe. Je ne me risquerai pas à résumer celle de Bioshock 2. Un autre personnage est au centre de cet épisode : les grandes soeurs, bien évidemment. L'équivalent des protecteurs, elles semblent vouloir protéger les petites soeurs, et attaquent le joueur quand celui-ci s'en empare.

Tout comme le premier opus, le joueur a la possibilité de sauver ou tuer les petites sœurs, pour récolter plus ou moins d'Adam.

L'appareil photo du premier opus est remplacé par une sorte de caméra. Plus pratique pour étudier les chrosomes.

Le jeu propose quelques nouvelles armes, dont la foreuse, bien sûr, mais aussi le lance-harpon, le fusil à double canon, et deux/trois autres. Trois améliorations sont toujours possibles pour chacune. Il faudra faire des choix.

Je déplore la relative faiblesse physique du protecteur Alpha. Pour un "protecteur", je le trouve relativement fragile. Face à quatre/cinq ennemis armés de pistolets, il ne fait pas long feu. Curieux ! Quand je pense que le personnage de Bioshock 1, sans armure, résistait mieux ... Étrange. Mais bon, après un certain nombre d'améliorations physiques, j'imagine que le problème s'arrange...

Vous l'aurez compris, Bioshock 2, malgré son moteur graphique qui accuse les années, propose aux joueurs une nouvelle aventure sombre et complexe dans les entrailles de la cité sous-marine de Rapture. Aux commandes du protecteur Alpha, on retrouve les journaux audio planqués un peu partout, les plasmides et les armes à améliorer. Les chrosomes semblent plus "intelligents" que dans Bioshock 1. Ils semblent se mettre à couvert plus souvent, au lieu de foncer tête baissée. Un bon point.

Inquiétant, complexe, un peu plus difficile, voilà une suite qui m'a vraiment plu. Les joueurs plus exigeants que moi déploreront sûrement une mécanique de jeu trop similaire au précédent opus.

Un jeu ... à tester d'urgence !

samedi 13 février 2010

Rammstein - Liebe ist fur alle da

Je ne pense pas avoir encore chroniqué le dernier album de Rammstein.



On pouvait craindre une (légitime) déception. En effet, les deux derniers albums ("Reise, reise" et "Rosenrot"), loin d'être mauvais, n'ont pourtant pas plu à tout le monde. On parlait alors de "baisse de rythme", voire de "déclin" (!).

Ce "Liebe ist fur alle da" est pourtant un album réussi. Et ça sera mon dernier mot, Jean Pierre.

Réussi, mais évidemment moins bon que l'énorme "Mutter".

Rammstein, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un peu le représentant européen de l'indus-metal dans le monde. Sans doute l'un des groupes les plus connus du genre.

Cet album, comme chacun sait, a fait polémique lors de sa sortie (surtout en Allemagne) : incitations au sadomasochisme, pornographie, moeurs légères, et tout ce qu'on avait sous la main. Ceux qui ont eu peur de cet album ont peut être oublié ce qu'est l'univers de Rammstein, fait d'ésotérisme, de symbolisme, de voyages, guerre, odes en tous genres, dualités, amour et haine, cannibalisme, et j'en passe. Pour cet album, c'est l'érotisme qui a mis le feu aux poudres (la chanson "pussy").

Cet album entraîne donc l'auditeur averti dans un univers à la fois onirique, symbolique, torturé, voire malsain. Il faut, je pense adhérer au concept de "brutalité poétique" du groupe.

L'album comprend assez de bons titres pour ne pas le reléguer au rang de "simple album". La pochette est à la limite du soutenable (je plaisante, évidemment, mais l'iconographie peut heurter). Écoutez les titres "Rammleid", "Ich tu dir weh", "Waidmanns heils", "Haifisch", "Buckstabu", "Fruhling in Paris" et "Pussy". 

Cela reste une préférence personnelle, je connais des gens qui apprécient plutôt "Wiener blut", "Rotter sand" et les autres.

Un "bon" album. Je dois avouer que j'avais des doutes sur sa qualité. Ecoutez-le pour vous faire votre propre opinion. (mieux ou pire que le précédent ?)

mercredi 10 février 2010

Dvd - Las Vegas Parano

"Las Vegas Parano" (fear and loathing in Las Vegas en V.O.) est un véritable "trip" cinématographique, littéralement "sous acides", réalisé par Terry Gilliam, et magistralement interprété par Johnny Deep et Benicio Del Toro.



Sorti en 1998 et adapté d'un livre, Las Vegas Parano narre l'épopée sous acides du journaliste Raoul Duke et son avocat le dr.Gonzo, dans le Las Vegas des années 70... Drogues dures, dérives diverses, courses de motos, cauchemars introspectifs, acides, mescaline, casinos, décapotable, tout y passe.

Je pense qu'il est inutile de résumer davantage ce film étonnant. Les deux acteurs principaux livrent ici une performance remarquable, ils habitent littéralement leurs personnages (Johnny Deep prouve ici qu'il est capable de jouer n'importe quel rôle) : un Raoul Duke qui marmonne ou s'exclame d'effroi, un Dr.Gonzo qui joue du couteau, et une avalanche de drogues diverses, provoquant, en vrac, incompréhension, peur panique, délires visuels, etc... Effrayant et délirant à la fois.

Un film à voir avec précaution (pour les plus de 12 ans,) mais qui se révèle être un véritable délire, bien filmé, magistralement interprété, efficace et rythmé à souhait.

Everlast - Love war and the ghost of whitey ford

Le dernier album en date du rapper Everlast (chanteur du groupe House of Pain, et actuel membre du collectif La Coka Nostra) est ... un bon album de rock/blues.



Voix puissante et profonde, charisme indéniable, le rapper qui approche la cinquantaine (il est né à la fin des années 60) délivre ici un album réussi. Pour ceux qui le connaissent, il a sorti il y a quelques années l'album "white trash beautiful", aux relents très blues/rock'n'roll agrémenté de hip-hop.

Pour ce "Love, war ...", Everlast ne semble guère changer de formule : chansons "d'amour", où se joint la douleur de la séparation, le manque d'affection, la nostalgie des temps passés, la rébéllion contre l'immobilisme, la haine, la guerre, etc... Autant de thèmes traités ici dans cet album. Les paroles sont tantôt explicites, tantôt nuancées et poétiques. On retrouvait déjà cette forme sur l'album "white trash beautiful".

Côté instrumentaux, qu'est-ce qu'il en est ? Eh bien on retrouve quelques samples par-ci par-là, mais surtout plein de riffs de guitares (électrique et acoustique), trompettes, piano, etc. Rappellons que ce n'est PAS un album de rap. Côté instrus, je pense donc que cela plaira aux amateurs de blues, de rock et de groove.

Ecoutez donc "Kill the emperor" (à l'instru très travaillée), "stone in my hand" (précis dans le rythme), "friend" (une ballade à la guitare acoustique) et "the ocean". On retrouve également une reprise du titre "maybe" (déjà présent sur "White trash beautiful").

A écouter, pour ceux qui apprécient le côté "blues/groove" du rapper Everlast, qui tranche ici radicalement avec ses prestations hargneuses sur la Coka Nostra.

jeudi 4 février 2010

Brütal Legend - PS3

Je l'ai !


Je me suis (enfin) décidé à acheter le fameux jeu de Tim Schafer,  Brütal Legend !

Amateur de finesse (et de métal, ce n'est pas incompatible), je ne renie pas les jeux un tantinet "bourrinoss".
En janvier c'était Conan (PS3) sur qui j'avais jeté mon dévolu de joueur.

Aujourd'hui, c'est un jeu d'une qualité sans comparaison :

" Brütal Legend, ou les mésaventures du roadie Eddie dans le monde alternatif ... du métal !

Eddie est le meilleur roadie du monde. Brutalement catapulté dans le monde du métal, où des hérissons à pointes en acier côtoient des "métalleux", au milieu de somptueux décors (dont les formes rappellent certains albums de heavy metal nordiques ! ^^), Eddie Riggs va progressivement comprendre que sa venue dans ce monde n'est pas due au hasard. Serait-il l'envoyé d'Örmagodden ? Eddie va sauver tout ce petit monde de l'oppression du cruel Deviculus. Pour ce faire, il va utiliser ses qualités de roadies : recruter des métalleux, motiver ses troupes, créer des scènes, rameuter les hordes de fans, etc...

Cette glorification du métal, même si elle inclut beaucoup d'humour, n'en est pas moins géniale. Il faut dire que Tim Schaffer est quelqu'un de doué.

Délirant, bien modélisé (même si graphiquement on en dessous de la moyenne), relativement riche en contenu, 100% rock'n'roll, Brütal Legend propose des menus originaux (les vinyles), de l'humour à la pelle, des paysages souvent grandioses, des "head bangers" et des "pogos", des monstres en tous genres, une VF / VOST impeccable, et des guest-stars ! (Lemmy Kilmister, Ozzy Osbourne en tête). Bref, un jeu décomplexé et fun, Vive la deuce !

A essayer absolument.